14e Regiment

Ayrtiom - Novine od France -

Objavljeno u France - Društvene interakcije i zabava - 30 Nov 2016 09:49 - 8

http://nsa38.casimages.com/img/2016/11/08/161108064451267413.png


Bonsoir,

L'article du MinLaugh sort avec une semaine de retard, et oui! La flemme, mon emploi du temps on fait que je n'ai pas sorti d'article depuis le 15. Aujourd'hui vous retrouverez les résultats du dernier HighScore ainsi que du dernier concours de la semaine. Bonne lecture!

http://nsa37.casimages.com/img/2016/11/08/161108064450812289.png

Le HighScore


La semaine dernière vous n'avez été que très peu à participer à l'event qui se pait sur le jeu Tetris. Aussi je n'ai eu que deux participants que je remercie pour avoir faire l'effort de participer et de faire vivre ce Ministère. Voici donc ce tout petit clement:

1. Antifiotte avec un score de 33720
2. Arkh avec un score de 12920


Il y avait 15 gold mis en jeu pour ce jeu, du coup j'ai décidé que je partagerai les 15 golds entre les deux joueurs ( en fonction de leur clement biensur ), histoire de faire râler les autres. Antifiotte remporte donc 8,5g et Arkh 6,5 gold.

http://nsa37.casimages.com/img/2016/11/08/161108064450812289.png
Le concours de la semaine

Encore une fois je n'ai eu que très très peu de participant pour le concours de la semaine, et seulement un joueur s'est laissé prendre au jeu. Voici donc son texte:

Il faisait froid ce soir-là, l’hiver battait son plein et le vent soufflait si fort que je n’entendais même plus le craquement de la neige sous mes bottes. Les membres gelés, je regardai les dernières lueurs du jour disparaitre derrière les toits des bâtiments de la bourgade dans laquelle je comptais per la nuit. Le village n’était composé que d’une seule rue où tous les habitants semblaient converger vers l’unique lieu de divertissement des environs : une taverne vieillissante à l’enseigne délabrée. L’écriteau à moitié effacé semblait autrefois indiquer le nom de l’établissement : le chat fringant.

Je m’avançai dans la rue et poussai le lourd battant de la porte, le vent s’engouffra dans la pièce en attirant avec lui le froid hivernale et le regard interrogé des paysans attablés dans la grande salle. Je refermai le battant avec peine et me précipitai vers le foyer dans lequel rugissait un feu éclatant. A deux pas de celui-ci, un attroupement de jeunes gens écoutait un vieux conteur en frissonnant, non de froid, mais de peur à l’évocation d’une sorte de croque-mitaine local, un certain Connen. Celui-ci semblait être responsable de tous les malheurs inexpliqués qui arrivaient au village. Le conteur racontait que parfois, lors de nuit de pleine Lune le vent s’engouffrait dans les charpentes en soufflant : « C’est la faute à Cooooonneeeeen » Je souris à l’évocation de ces croyances, elles me ramenaient directement à mon enfance lorsque moi aussi, comme ces enfants, j’écoutais mon père raconter des histoires au coin du feu. Pris de nostalgie, je m’is à une table non loin du conteur qui entamait une nouvelle histoire.
« C’était il y a fort longtemps. A cette époque mon grand-père n’était pas plus âgé que le plus jeune d’entre vous. La saison des récoltes touchait à sa fin et les greniers regorgeaient de victuaille en tout genre. Vous le savez, tout comme moi, que cette partie de l’année est la plus opulente du village, on y fait ripaille presque tous les soirs, les vivres qui ne sont pas faites pour tenir tout l’hiver sont consommées avant l’arrivée des premiers froids.

C’est à cette époque qu’un singulier visiteur est arrivé dans le village. Comme vous le savez le village se situe à proximité de la route royale et les visiteurs y sont nombreux. Vous vous demandez donc ce que ce visiteur pouvait bien avoir de particulier pour que des années après les évènements on les raconte encore. Et bien ce n’était pas un humain, c’était un chat. A l’époque il n’y avait pas de chats dans la région, on en trouvait en abondance plus au sud, parfois un marchant faisant route vers la capitale au nord en transportait dans sa charrette, mais c’était la seule présence féline de la région, hormis les quelques lynx qui descendent parfois dans les plaines pour dévorer nos brebis. 

L’arrière-grand-mère du forgeron, dans sa folie habituelle, appela rapidement le chat Faithless. Ce qui, dans la langue des anciens, veut dire « Sans foi ». Elle prédisait en effet que ce chat apporterait des malheurs au village par sa vilenie et son égoïsme. A l’époque, tout le monde s’était moqué d’elle et on accueillit le chat avec bonheur, on le gâta de moult tendresse et nourriture. Les membres du village se rendirent rapidement compte que Faithless ne semblait vouloir adopter un seul foyer et qu’il daignait se rendre plus volontiers dans les maisons qui le gâtaient abondement. Pendant une période, le chat semblait se contenter de jouir de cette vie de pacha, puis il commença à se montrer exigeant, griffant et mordant les villageois qui ne satisfaisaient pas ez son estomac.

Le village se divisa rapidement en deux parties. Celle qui continuait à traiter le chat avec respect et celle qui n’acceptait plus de le servir. Suivant cette scission, des vivres se mirent à disparaître dans le grenier central. On accusa les servants du chat, eux seuls étaient capables de voler de la nourriture pour satisfaire l’appétit insatiable de Faithless. Ces dissensions furent rapidement responsables de nombreuses bagarres qui éclatèrent au sein du village. On coupa le village en deux en dressant des barricades rudimentaires. La maison du forgeron devint le quartier général des militants de la disparition du chat, alors que la taverne dans laquelle vous vous trouvez devint le lieu du culte du chat Faithless. 
Des semaines pèrent sans incidents notoires, les villageois ne se remblaient plus qu’en deux camps distincts et les réserves de nourriture furent rapidement gardées jours et nuits par les villageois qui désiraient voir le chat partir ou mourir. Enfin, le soir ou la première neige recouvrait les pavés de la rue centrale, un évènement inattendu arriva, un nouveau chat entra dans le village. On raconte que celui-ci traversa le hameau sans tourner la tête évitant avec grâce les coups de pieds qu’on essaya de lui donner. Sans même répliquer, il enjamba la barricade et rentra dans la taverne pour venir s’installer au pied du piédestal sur lequel Faithless se reposait jour et nuit désormais. De manière disparate puis de plus en plus fréquentes, des chats arrivèrent aux villages. Tous semblaient savoir où se trouvait Faithless et s’y rendaient directement. Ils commencèrent par s’installer autour de lui comme une cour s’installe autour de son roi, puis lorsque leur nombre atteint une vingtaine de félins, ils commencèrent à piller périodiquement le grenier pour nourrir leur roi. Les villageois commencèrent à penser qu’ils avaient accueilli le dieu des chats dans leur hameau et alors que le nombre de chat siégeant dans la taverne dépa cent, les villageois qui voulaient la mort de Faithless finirent par se convaincre eux même que ce chat méritait d’être vénéré. Seule l’arrière-grand-mère du forgeron continuait à blasphémer en appela à la mort du chat démoniaque. Les semaines pèrent et l’ont continua à traiter Faithless et sa cour toujours plus nombreuse avec déférence jusqu’au jour où un beau matin, on découvrit la grande salle de la taverne vide. Toute présence féline avait disparu, seuls restaient des poils éparpillés là où se tenait la cour de Faithless ainsi qu’une multitude de trace de pas dans la neige, partant vers le nord. C’est d’ailleurs depuis ce jour que l’on utilisa pour la première fois l’expression « Il n’y a pas un chat ». 

Comme si le village se réveillait d’un mauvais sort, on se rendit compte que le grenier avait été complétement vidé pendant ces semaines de vénérations. Comme si l’importance de garder des réserves pour l’hiver ne prenait sens que maintenant… »
Le conteur marqua une pause et regarda son auditoire qui semblait à la fois pionné et fatigué, une lueur changea dans son regard, il avait décidé d’abréger l’histoire. Il reprit :
« Et c’est ainsi que le village pa le plus rude hiver du centenaire, celui dont vous parlent souvent vos parents lorsque vous ne travaillez pas ez durement dans les champs… Vous en connaissez maintenant la raison, le dieu chat avait visité notre humble hameau… »


L'auteur n'est autre que 14eSharp qui remporte donc 10 golds et c'est bien mérité.

http://nsa37.casimages.com/img/2016/11/08/161108064450812289.png


Il n'y aura pas de jeu ni de concours cette semaine en raison de la présidentielle qui approche, n'étant pas sûr de reprendre le MinLaugh pour le prochain mandat ( en fonction de qui remportera la chose ). Je vous laisse tout de même avec des boobz. Pour ceux qui le souhaite ma boite MP est ouverte si vous avez des idées d'event de MinLaugh.

http://orig07.deviantart.net/846d/f/2010/068/2/f/seungri___boobz___by_k_muzik_macros.jpg
http://cdn4.gurl.com/wp-content/gallery/whatguysnotice/cleavage.jpg

Podupri

ConnenNeuteKiminuxHalfvolle le triso Suce crabe

Komentari (8)

Bouclier anti-First!
Cimer pour les golds et les boobs ptin : (
Pavé César
Sharp est un grand malade putain
Bravo Sharp o7 et un très bon article
Des goooooolds o/
Boobs certifié Halal, allez-y !
Sharp wallah ! J ai versé une petite larme :,) ! J ai essayé de faire pareil avec le TP, mais spanki est beaucoup trop dangereux :x Super article Arty !